Plusieursécologistes alertent sur le risque d’explosion nucléaire dans nos centrales. Des craintes fondées au vu du nombre d’incidents et des négligences d’EDF, mais exagérées. Les dispositifs de sûreté en France sont conçus pour empêcher ce genre d’événement.
Un rapport souligne le faible niveau de sécurité informatique dans l'industrie nucléaire actuelle. En France, comme ailleurs, de plus en plus de centrales sont accessibles par centrale nucléaire explose, irradiant l'environnement à des kilomètres à la ronde, à la suite d'une cyberattaque. Ce scénario catastrophe figure en début du film "Hacker" de Michael Mann, mais il occupe également l'esprit de bon nombre d'experts du secteur nucléaire depuis quelques années. Un rapport que vient de publier le groupe de réflexion britannique Chatham House montre qu'ils ont bien raison d'être ce document, l'industrie nucléaire constitue une cible particulièrement vulnérable aux cyberattaques. Cette conclusion s'appuie sur des entretiens réalisés avec des experts dans plusieurs pays – dont la France, l'Allemagne, les Etats-Unis, le Japon et la Russie – et auprès d'organisations internationales comme l'Agence internationale de l'énergie atomique IAEA ou l'Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information ENISA. Vulnérables par designSelon Chatham House, les acteurs de l'industrie nucléaire "commencent, mais ont du mal, à lutter contre cette nouvelle menace insidieuse". Les centrales nucléaires, par ailleurs, "manquent de préparation pour affronter une urgence en matière de cybersécurité, dans un incident de grande ampleur, et auraient du mal à coordonner une réponse adéquate". Enfin, "nombre de systèmes industriels de contrôle sont vulnérables par design", car ils ont été développés à une époque où les cyberattaques ne jouaient pas encore un grand cause un financement insuffisant de cette prévention, un manque de formation, de normes réglementaires et de culture de la cybersécurité, l'utilisation croissante du numérique dans les systèmes d'exploitation des centrales et le recours à des logiciels de série peu onéreux mais plus vulnérables au piratage, observe le VPN pour se connecter à la centraleChatham House dénonce le "mythe répandu" selon lequel les centrales nucléaires seraient protégées parce qu'elles ne seraient pas connectées à internet "air gapped". Dans les faits, de nombreuses installations ont progressivement mis en place une forme de connectivité et leurs systèmes informatiques peuvent être piratés par des moyens parfois très simples. En effet, il n'est pas rare que, par commodité, certains prestataires accèdent aux ressources d'une centrale par un accès c'est par l'intermédiaire d'une telle connexion Internet sécurisée que la centrale américaine Davis-Besse a été infectée par le ver Slammer en 2003, souligne le rapport. Un ingénieur du prestataire First Energy Nuclear avait connecté son ordinateur portable personnel au réseau VPN de son employeur, lui-même connecté directement par VPN au système SCADA de la moteurs de recherche en ligne, comme Shodan ou ERIPP, permettent d'ores et déjà aux hackers d'identifier les centrales nucléaires accessibles par Internet. "Nous avons fait une recherche en utilisant Shodan et trouvé toutes les centrales nucléaires en France qui étaient connectées à Internet", explique un expert français en cybersécurité dans le rapport. En effet, lorsque Shodan trouve un système SCADA, il fournit une géolocalisation de l'adresse IP, qu'il suffit de recouper avec les localisations connues des centrales en la référenceAutre exemple célèbre le virus Stuxnet, responsable de la destruction d'un millier de centrifugeuses dans le site nucléaire de Natanz en 2010. Ce malware s'est introduit dans le système de contrôle SCADA en infectant les ordinateurs des ingénieurs de proche en proche au moyen de périphériques de stockage USB. Selon Chatham House, cette attaque est devenue une référence dans le monde des cybercriminels et leur a permis d'améliorer leurs techniques. "Une fois que l'existence de Stuxnet a été connue, explique le rapport, les pirates à travers le monde se sont inspirés de son fonctionnement et ont incorporé certaines de ses fonctionnalités à leurs propres logiciels à visée malveillante". Les conférences de hackers telles que Defcon mettent de plus en plus en évidence les failles des systèmes industriels et pointent ce type de rapport fournit enfin toute une série de recommandations pour améliorer cette situation faciliter l'échange d'informations entre les différents acteurs du secteur et, en particulier, entre les centres nationaux d'alerte CERT, intégrer le cyber dans la gestion du risque des centrales nucléaires, ou encore investir davantage dans les systèmes de sécurité informatique.
Cecidit, cela nécessite de produire de l'uranium nettement plus enrichi que celui qu'on trouve dans un réacteur, ou bien d'extraire le plutonium 239 du combustible nucléaire usagé. La fission nucléaire et la fusion nucléaire produisent toutes deux de l'énergie. Leur cycle de fonctionnement n'émet pas de CO2. Pour autant, elles posent les questions du risque technologique et d'une possible mauvaise utilisation du combustible, qui méritent d'être regardées avec attention...L’énergie issue de la fission nucléaireLa technologie nucléaire utilisée actuellement partout sur Terre se base sur la fission. Elle utilise les noyaux les plus massifs, dont les nucléons sont légèrement trop lourds » par rapport à ceux des atomes de masse intermédiaire. La différence est très petite moins de 1 % par nucléon mais elle correspond à une énergie gigantesque, que l'on cherche à exploiter. Les 435 réacteurs nucléaires en service dans le monde en 2014 utilisent ce principe pour produire de l'électricité. Plus précisément, ils ne produisent pas directement de l'électricité mais de la chaleur. Cette chaleur est ensuite utilisée pour entraîner une turbine à vapeur qui, à son tour, alimente un grand générateur. La spécificité du nucléaire réside donc dans la première étape produire de la chaleur à partir de réactions nucléaire fournit 13 % de la production mondiale d'électricité données 2011, soit environ 5 % de la consommation totale d'énergie. En France, elle assure 76 % de la production sa forme actuelle, l'énergie nucléaire est basée sur la fission de l'uranium, plus précisément de son isotope le plus rare l'uranium 235. Les réserves actuelles d'uranium permettraient d'alimenter la filière en combustible pendant environ 100 ans, au niveau de prix et de technologie actuel. Cette durée serait sensiblement allongée si on prenait en compte les réserves d'uranium plus coûteux. Si on exploitait également l'isotope d'uranium le plus abondant l'uranium 238, la durée possible d'exploitation augmenterait au moins d'un facteur 100. Pour autant, ce n'est possible qu'avec les surgénérateurs qui sont capables de convertir l'uranium 238 en coût d'investissement d'une centrale nucléaire est élevé plusieurs milliards d'euros, mais les coûts d'exploitation sont bas. Les centrales nucléaires sont principalement adaptées pour fournir la charge de base » d'électricité, pas pour répondre à des fluctuations rapides de la avantages de la fission nucléaire sont de diminuer la dépendance aux pays producteurs de gaz et de pétrole, d'être intéressante sur le plan économique et de ne pas émettre de CO2. La fission a l'inconvénient de permettre de mauvaises utilisations de l'énergie nucléaire la prolifération. L'uranium 235 et le plutonium 239 qui est produit automatiquement en petites quantités quand un réacteur fonctionne peuvent servir à la confection d'une bombe nucléaire. Ceci dit, cela nécessite de produire de l'uranium nettement plus enrichi que celui qu'on trouve dans un réacteur, ou bien d'extraire le plutonium 239 du combustible nucléaire si les réacteurs nucléaires modernes obéissent à tous les critères de sécurité, des accidents majeurs peuvent se produire en cas de panne du système de refroidissement. C'est principalement à cause de la chaleur résiduelle qui est produite même après l'arrêt du réacteur, comme l'a montré la catastrophe de Fukushima en 2011. Des réacteurs à sécurité intrinsèque sont en cours de développement, mais ils ne seront pas disponibles avant traitement des déchets nucléaires reste un problème à résoudre, même si les quantités de déchets restent faibles ils peuvent être stockés sans danger dans des mines de sel, d'argile ou de granite. Les inconvénients de l'énergie nucléaire doivent être soigneusement mis en balance avec l'effet des carburants fossiles sur le changement fusion nucléaire quels avantages ?La fusion nucléaire ne pourra pas contribuer à la production mondiale d'énergie avant 2050. Elle est toujours en phase expérimentale. Mais si sa faisabilité technique et économique est démontrée, son potentiel est énorme puisqu'elle utilise un carburant disponible pendant des milliards d'années. Un litre d'eau ordinaire contient suffisamment de deutérium pour produire l'équivalent en énergie de 200 litres de pétrole. Le combustible des réacteurs de fusion est abondant et disponible. Les réacteurs de fusion prendront sans doute la forme de grandes installations, comparables aux réacteurs de fission actuels produisant MW d'électricité. Les problèmes liés au traitement des déchets seront probablement bien moindres pour les réacteurs de fusion que pour les réacteurs de fission actuels. Des accidents importants semblent peu probables avec la nombreuses nations sont aujourd'hui impliquées en totale collaboration dans la recherche sur la fusion. Le réacteur expérimental Iter est le fruit de la coopération entre de nombreux pays Chine, Corée du Sud, États-Unis, Europe, Inde, Japon et Russie. CentraleNucleaire De La Manche; Moteur Que L On Trouve Dans Une Centrale Nucleaire; Cœur Dune Centrale Nucléaire; Brule A L'egliseil Est Brule A L'egliseon Le Bruleparfum Le 19 février 2013 Les retombées de la catastrophe nucléaire de Fukushima sont encore en cours, pour des centaines de milliers de victimes au Japon, à qui une indemnisation juste, équitable, équilibrée est toujours refusée. Au Japon, aujourd’hui confronté à la réalité d’un accident nucléaire grave, le système permet à l’industrie nucléaire de se soustraire à ses responsabilités, laissant l’argent public compenser son désastre. Un rapport de Greenpeace International, détaille comment les graves lacunes de la réglementation nucléaire mondiale laissent aux institutions et aux contribuables la responsabilités de payer les coûts d’un accident nucléaire. Ni les exploitants de centrales nucléaires, ni les fournisseurs d’équipements clés, ne sont concernés par les coûts engendrés … par eux ! Les conséquences de ce système injuste, qui a laissé des centaines de milliers de victimes japonaises sans compensation adéquate, pourrait être répliqué partout dans le monde, car l’industrie nucléaire n’est pas tenue responsable de ses échecs. Entre autres problèmes, les conventions élaborées pour les activités nucléaires limitent le montant des indemnisations qui seront versées aux victimes entre 350 et 1,5 milliards d’euros. Ces conventions n’exigent pas que les fournisseurs des industriels du nucléaire soient inclus dans le processus de responsabilité et d’indemnisation. Les premières estimations du coût de l’accident nucléaire de Fukushima fixaient les dommages entre 48 et 169 milliards d’euros. L’opérateur de la centrale de Fukushima, TEPCO, a été nationalisé, car il était dans l’incapacité de payer ne serait-ce que les tous premiers coûts de réparation. Dans le cadre du système actuel de responsabilité, TEPCO, est aujourd’hui seul tenu pour responsable et doit donc payer alors qu’il n’était pas assuré pour de tels montants. Ses fournisseurs GE, Hitachi et Toshiba – qui a fourni des réacteurs basés sur une conception erronée – ne sont pas tenus de payer quoi que ce soit à titre de réparation. Ce sont les contribuables japonais, y compris les personnes évacuées, qui finiront par payer la majeure partie des coûts de la catastrophe. Et en France ? Une étude de l’IRSN estime à 430 milliards d’euros le coût d’un accident nucléaire majeur. Coûts radiologiques, pertes touristiques, contamination … Tous les impacts d’un accident ont été pris en compte. L’impact économique d’un accident dépend en effet largement du lieu d’implantation de la centrale densité de population, économie locale… et des conditions météorologiques. L’IRSN est la seconde institution française à se pencher sur les coûts des accidents nucléaires. Dès 2012, la Cour des comptes s’est ouvertement posée une question rarement évoquée dans les milieux officiels, dans son rapport sur les coûts de la filière nucléaire remis en janvier qui indemniserait les éventuelles victimes, réparerait les éventuels dommages et pour quels montants? Et la Cour des Comptes fait ce constat le système d’assurance mis sur pied pour les risques liés au nucléaire civil est très insuffisant et repose essentiellement sur l’État. Et non sur l’exploitant qui, du coup, voit ses coûts d’assurance indûment minimisés. Dans le monde, »la couverture du risque de responsabilité civile nucléaire est essentiellement fournie par le biais de pools d’assurance et de réassurance , indiquait la Cour des comptes dans son rapport sur les coûts de la filière électronucléaire. Pour l’instant, EDF assure ses réacteurs hexagonaux auprès d’Allianz et d’Elini, une mutuelle spécialisée dans les risques nucléaires, qui eux-mêmes se réassurent auprès d’Océane Ré, une société de réassurance contrôlée par EDF. Le serpent se mord la queue. Actuellement, le montant maximum de la responsabilité de l’exploitant est de 91, 5 millions d’euros par accident survenant sur une installation nucléaire . Il est limité à 22, 9 millions lorsque l’accident concerne une installation à risque réduit ou le transport de substance nucléaire . Au-delà de cette somme, la charge financière incombe à l’État pour un montant maximum de 345 millions d’euros. Pour la Cour des comptes, les règles actuelles ne permettent pas de couvrir les dommages d’un accident, même d’ampleur limitée . Le système doit intégrer TOUS les coûts ! Si l’on intègre les conséquences économiques d’un accident nucléaire au coût du MWH, l’électricité nucléaire perd immédiatement son image d’énergie bon marché. C’est en intégrant tous ces coûts que l’on se rendra compte que cette technologie représente un fardeau que notre société n’a plus le luxe de se payer. C’est également au niveau réglementaire, sur son système d’assurance que la France doit agir d’une part en étendant la responsabilité des exploitants aux fournisseurs du nucléaire et d’autre part, en mettant en place un régime de responsabilité illimitée comme en Suède et en Allemagne.
Laconception, le développement et la production de réacteurs nucléaires de propulsion navale débuta dans les années 1940 aux États-Unis sous la direction de l'amiral Hyman Rickover.Le premier réacteur de test fut démarré en 1953, et deux ans plus tard en 1955, le premier sous-marin nucléaire, l'USS Nautilus (SSN-571), fut mis à la mer. Une grande partie des premiers
Table des matières Pourquoi on a besoin de l'énergie nucléaire ? Quel est l'impact du nucléaire sur l'environnement ? Ou Utilise-t-on l'énergie nucléaire ? Quelle est la source d'énergie utilisée dans les centrales nucléaires ? Comment est utilisé l'énergie nucléaire ? Quelle est l'énergie nucléaire ? Pourquoi le nucléaire est dangereux ? Comment remplacer l'énergie nucléaire ? Pourquoi on a besoin de l'énergie nucléaire ? L'énergie nucléaire est le plus souvent utilisée pour produire de l'électricité. ... De la production de chaleur au dessalement de l'eau de mer, en passant par la conservation des aliments et les explorations dans l'espace, le nucléaire apporte des réponses aux grands défis de notre temps. Quel est l'impact du nucléaire sur l'environnement ? Une centrale nucléaire n'émet ni dioxyde d'azote, ni dioxyde de soufre, ni particules fines ni poussières, qui contribuent à la pollution de l'environnement, air, eau et forêts. En France chaque année, l'utilisation du nucléaire permet ainsi d'éviter le rejet de ... 890 000 tonnes d'oxydes d'azote. Ou Utilise-t-on l'énergie nucléaire ? L'énergie nucléaire dépend d'un combustible fissile, l'uranium, dont le minerai est contenu dans le sous-sol de la Terre. Elle permet de produire de l'électricité, dans les centrales nucléaires, appelées centrales électronucléaires, grâce à la chaleur dégagée par la fission d'atomes d'uranium. Quelle est la source d'énergie utilisée dans les centrales nucléaires ? L'énergie nucléaire dépend d'un combustible fissile, l'uranium, dont le minerai est contenu dans le sous-sol de la Terre. Elle permet de produire de l'électricité, dans les centrales nucléaires, appelées centrales électronucléaires, grâce à la chaleur dégagée par la fission d'atomes d'uranium. Comment est utilisé l'énergie nucléaire ? L'énergie nucléaire dépend d'un combustible fissile, l'uranium, dont le minerai est contenu dans le sous-sol de la Terre. Elle permet de produire de l'électricité, dans les centrales nucléaires, appelées centrales électronucléaires, grâce à la chaleur dégagée par la fission d'atomes d'uranium. Quelle est l'énergie nucléaire ? L'énergie nucléaire dépend d'un combustible fissile, l'uranium, dont le minerai est contenu dans le sous-sol de la Terre. Elle permet de produire de l'électricité, dans les centrales nucléaires, appelées centrales électronucléaires, grâce à la chaleur dégagée par la fission d'atomes d'uranium. Pourquoi le nucléaire est dangereux ? La radioactivité existe à l'état naturel en quantité négligeable et sans risque. ... En cas d'accident dans une centrale nucléaire, comme c'est le cas au Japon, les dégagements radioactifs deviennent très importants, bien au-dessus des seuils tolérés et donc dangereux pour la santé humaine. Comment remplacer l'énergie nucléaire ? Les alternatives au nucléaireL'énergie solaire photovoltaïque Le photovoltaïque, est une des alternatives au nucléaire, qui prouve chaque jour un peu plus son efficacité. ... L'éolien L'éolien est sûrement l'alternative au nucléaire la plus crédible à ce jour. ... La géothermie ... L'Hhydroélectrique. ... La fusion
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Comme l’écrit avec un humour grinçant une blogueuse surnommée Jessica, Macron est le président le plus écologique que la France n’ait jamais eu "il n’a jamais été au charbon, ses promesses de campagnes sont biodégradables, il recycle ses ministres et il brasse plus d’air qu’un parc éolien" Au-delà de l’humour, c’est un sujet intéressant à creuser, car la question peut être posée plus sérieusement en quoi Macron serait-il écolo ? Les voitures électriques, censées supprimer la pollution dégagée par les moteurs thermiques ? Sachant que l’autonomie d’une voiture électrique peut être au maximum de 500 km, cela correspond sur une autoroute à 4 heures de conduite...mais quid en cas de bouchons...provoqués par une tempête de neige par exemple ? Qui a oublié cette fameuse tempête de neige nommée Bella, faisant tomber 50 cm de neige en 2 jours, un certain 29 décembre 2020 qui a bloqué pendant des heures des centaines de véhicules sur l’autoroute qui relie Clermont-Ferrand à Béziers ? lien Au bout de 3 heures de blocage, étant obligés de faire tourner leur moteur pour ne pas subir le froid, ou d’autres problèmes mécaniques, quelle solution restera-t-il aux voyageurs ?...et qui viendrait les dépanner puisque tous les véhicules seraient électriques, y compris celui des dépanneurs ? Et il n’y a pas que l’hiver qui pourrait poser problème... car, nous avons connu cet été plusieurs épisodes de canicule...qui dit canicule dit utilisation de la clim dans les véhicules, et donc consommation supplémentaire d’électricité, d’autant que lors des départs/retour de vacances, il est bien connu que les bouchons se multiplient 860 km de bouchons cumulés, lors des départs de vacances lien et 770 km pour les retours en 2022, entraînant une autre surconsommation d’électricité. lien Il est facile d’imaginer le chaos qui s’en suivrait, tant en été qu’en hiver, si ces véhicules électriques se trouvent finalement en panne sur l’autoroute… Au-delà de cette réflexion, d’autres problèmes surgissent, car le recyclage des batteries coûte cher, raison pour laquelle, elles sont la plupart du temps stockées, provoquant une nouvelle pollution... Mais la raison principale est que le tout-électrique va provoquer un énorme accroissement de consommation électrique, et donc toujours plus de centrales nucléaires… Revenons au bilan présidentiel en matière de lutte contre le changement climatique. On sait que notre pays est largement en retard sur l’ensemble des pays de l’union européenne, 17ème au sein de l’union européenne, piégé dans son choix de politique des petits pas »…lien On sait aussi que pour la rentrée, Macron serait prêt à décider des mesures exceptionnelles ? pour rattraper son retard, mais qui peut encore le croire, d’autant que le quinquennat précédent a montré les limites de l’action gouvernementales ? Au moment où 28 des 56 réacteurs disponibles sont à l’arrêt, lien et où la Russie a décidé d’un chantage au gaz, on ne voit pas très bien comment le pays pourrait enfin prendre le virage vers les énergies propres. Lien Pour être plus précis, en ce moment, le parc nucléaire ne produit plus que 23,6 GW sur les 61,4 GW possibles soit presque le tiers du potentiel... Ajoutons que la sécheresse exceptionnelle que nous connaissons amplifie le problème, car les centrales nucléaires ont besoin de beaucoup d’eau pour refroidir les réacteurs la centrale de Golfech en a fait les frais, et elle n’est pas la seule, le Blayais, Chooz, Cattenom sont aussi concernés. lien D’autres réacteurs ont du ralentir leur production, comme par exemple ceux de St Alban, Tricastin, Dampierre, Belleville...lien Rappelons aussi qu’un réacteur prélève 3m3 d’eau par seconde, provoquant l’évaporation d’un demi mètre cube d’eau. lien N oublions pas pour autant les centrales situées au bord des côtes de la Mer du Nord en effet, la canicule a provoqué une prolifération d’algues, lesquelles pourraient boucher des canalisations destinées au refroidissement des réacteurs. Et la situation devrait empirer dans les années suivantes s’il faut en croire la carte réalisée par explorer 2070 » qui montre les projections de sécheresse pour 2050… Pour tenter de répondre à cette urgence, ce gouvernement propose des solutions discutables, comme on l’a vu avec les voitures électriques...il propose de déboiser des forêts entières pour implanter des parcs photovoltaïques. Lien Il y a pourtant une solution bien moins dévastatrice, c’est tout simplement d’équiper tous les toits du pays ce qui représente une surface considérable. Beaucoup de fausses informations ont été communiquées ici ou là, afin de démontrer que le photovoltaïque ne serait pas une alternative crédible...en réalité, la production électrique annuelle actuelle correspond à un carré de 25 km de coté 500 km²...alors que la surface couverte d’infrastructure en France bordures d’autoroutes, et toitures diverses correspond à environ 30 000 km². lien La Chine a déjà au moins une autoroute solaire, qui devrait permettre la production d’un million de kWh par an. lien Pareil pour l’éolien le choix principal est d’implanter ici ou la des parcs éoliens, qui ne font pas l'unanimité...oubliant qu’il y a une autre solution, c’est équiper d’abord les maisons, les immeubles, les batiments industriels, de petites éoliennes à axe vertical, moins dommageables pour l’environnement, et quasi tout autant efficaces, même si elles sont un peu plus onéreuses, car elles sauvegardent du terrain au sol, et en permettant la consommation sur place de l’énergie produite, elles évitent un gaspillage lors du transport énergétique. Lien. Alors quel avenir pour le plan énergétique de Macron »...va-t-il rejoindre les plans divers et variés qui l’ont précédé, et à la longue liste des promesses non tenues ? L’avenir nous le dira, car comme dit mon vieil ami africain si tu veux voler avec les aigles, arrête de nager avec les canards ». Le dessin illustrant l’article est de Mutio Merci aux internautes pour leur aide précieuse Olivier Cabanel Articles anciens pile poil une farce énergétique emporté par le fioul nucléaire, l’énergie du passé Le complot nucléaire L’électricité, c’est gratuit Les énergies, c’est du propre Après Totness, Feldheim Totness enlève le haut. Le caillou dans la chaussure Un avenir radieux ou irradié Sans transition, la chute ! L’énergie en partage Il y a ceux qui nous pompent l’air… Comment tourner la page du nucléaire, du pétrole et du charbon Au pays du soleil, le vent ! De l’eau dans le gasoil Roulez, roulez, petits plastiques Faire le plein avec du vide MHD, l’énergie cachée du futur Quand les ordures se changent en or Vive l’énergie positive Sortir en douceur du nucléaire Du pétrole sous les sabots Energies propres en Suède De la fuite dans les idées L’imagination au pouvoir Tel un avion sans kérosène Rouler malin D’autres énergies pour sortir de la crise Au chaud sur la terre de glace Simple comme l’eau chaude Témoignage sur le photovoltaïque en France Le plein de cochon à la pompe Le nucléaire dépassé par des cochons Déchets, de l’or dans nos poubelles En France on a pas de pétrole, et pas d’idées non plus
MoteurDémission Ou Moteur À Explosion; Qui Se Trouve Au-Dessous; Qui Se Trouve Au Dessous; On Les Trouve Dans Les Assiettes Et Dessous; Qui Se Trouve Au Dessous 9 Lettres;
Deux militants de Greenpeace comparaissent mercredi 17 octobre devant le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse, le premier pour avoir survolé en parapente la centrale nucléaire du Bugey Ain, le second pour s'être présenté à l'accueil de la même centrale. L'action commando s'était déroulée entre les deux tours de la présidentielle, le 2 mai, et a été filmée par un drone télécommandé par des militants. La suite après la publicité Greenpeace survole la centrale nucléaire du Bugey par LeNouvelObservateur Le directeur de la centrale du Bugey, Alain Litaudon, avait estimé ce jour-là que "Greenpeace n'a rien démontré" en termes de failles. "L'interpellation a eu lieu en huit minutes" après la détection, avait-il plaidé, jugeant que l'événement démontrait "très clairement que le dispositif de sécurité est efficace". Alexandre Faro, avocat de Greenpeace qui défendra les deux intrus de la centrale de Bugey, n'est pas de cet avis... Que s’est-il passé précisément à la centrale de Bugey le 2 mai dernier ? - Un parapentiste à moteur, Kai Von Scietentron, 29 ans, un allemand, a survolé le réacteur de la centrale de Bugey pour en montrer la vulnérabilité. Or, il a dû se poser en urgence entre les deux bâtiments réacteurs parce que sa voile s’est pliée. On le voit sur la vidéo. Il est poursuivi pour "survol d’une zone interdite". L’autre prévenu, Jonathan Palais, 33 ans, est poursuivi pour "complicité". Son rôle a été mineur. Il est venu demander des nouvelles du pilote à la guérite d’accueil de la centrale. Mais lors d’une perquisition dans sa voiture, la police a trouvé un GPS qui indiquait le chemin pour venir à la centrale, une carte du secteur…La suite après la publicité Quelle sera votre ligne de défense ? - Je vais faire une défense en droit. L’infraction pénale qui a été retenue, "survol d’une zone interdite", ne tient pas. Les centrales nucléaires ont effectivement été déclarées zones interdites en 2002, à la suite des attentats du 11 septembre 2001. Pour certaines centrales, comme la Hague, l’interdiction est définitive. Mais pour d’autres, dont Bugey, elle était temporaire sans que l’on sache jusqu’à quand elle court. Je vais donc soulever l’illégalité de cet arrêté, qui ne prévoie pas de terme à l’interdiction "temporaire". C’est le même type de défense que vous aviez développé pour les autres militants de Greenpeace, qui s’étaient introduits dans les centrales de Nogent et Cruas en décembre 2011… - Ce sont les mêmes problématiques. En l’occurrence, Nogent et Cruas était officiellement protégées comme des sites militaires des pancartes indiquent tout autour qu’il s’agit de sites militaires et qu’y pénétrer entraîne une peine de 6 mois de prison. Or primo, elles n’ont pas de lien explicite avec des activités militaires. Et secondo, les militants qui s’y sont introduits ont été accusés de "violation de domicile". Sur les centrales nucléaires, les notions juridiques ne sont pas clairement établies. Or le droit pénal n’a pas le droit d’être suite après la publicité Les prévenus considèrent-ils avoir réussi leur mission ? - Oui bien sûr ! Ils ont encore une fois mis à mal la communication d’EDF. L'entreprise a qu’elle avait bien repéré qu’il s’agissait d’un parapente Greenprace, raison pour laquelle elle n’a pas déclenché le plan hors-sec. Or quelques jours plus tard, un autre parapente a survolé par erreur une autre centrale, Saint-Alban, au sud de Lyon, et EDF a fait envoyer un Mirage 2000… Tout ceci montre qu’il n'y a pas de réponse adaptée. EDF ferait mieux d’admettre la vulnérabilité des centrales ! Que risquent les deux prévenus de Bugey ? - Un an de prison et euros d’amende. Autrement dit, on risque plus en survolant une centrale qu’en pénétrant par voie terrestre, où l’on risque 6 mois de prison !La suite après la publicité Où en sont les militants qui s’étaient introduits dans les centrales de Nogent et Cruas ? Pour ceux qui se sont introduits à Nogent, le tribunal de Troyes s’est dit incompétent. La Cour d’appel de Reims les a reconnus coupables et les a condamné à 6 mois de prison. Nous nous sommes pourvus en cassation pour que la Cour annule ce jugement. On ne peut avoir une interprétation extensive du droit pénal. Quant à ceux qui sont entrés dans la centrale de Cruas, ils ont été relaxés par le tribunal de Privas, et renvoyés devant la Cour d’appel de Nîmes, qui a mis l’affaire en délibéré jusqu’au 23 novembre. Propos recueillis par Morgane Bertrand le 17 octobre 2012 - Le Nouvel Observateur
Lefonctionnement d'une centrale nucléaire La fission des atomes d'uranium produit de la chaleur, chaleur qui transforme alors de l'eau en vapeur et met en mouvement une turbine reliée à un

Objectif À la maison, lorsqu'on allume une lampe, on utilise de l’électricité. Cette électricité provient d'une centrale électrique. Quels sont les différents types de centrales ? Comment fonctionne chacune des centrales ? Quelles sont les énergies utilisées ? 1. Les différents types de centrales La production électrique s'effectue dans des centrales électriques. Dans une centrale électrique, on utilise une source d'énergie primaire que l'on va convertir en énergie électrique. a. La centrale thermique Centrale thermique à charbon Dans une centrale thermique, on chauffe de l’eau dans une chaudière pour obtenir de la vapeur d’eau sous pression. Cette vapeur va permettre de faire tourner une turbine qui va entraîner un alternateur. L’alternateur va produire l’électricité. La source d'énergie primaire utilisée dans une centrale thermique peut être du charbon, du gaz naturel ou du pétrole on parle alors d’énergie fossile. Une énergie fossile provient de la décomposition de matière organique essentiellement d’origine végétale au cours de millions d'années. b. La centrale nucléaire Centrale nucléaire Dans une centrale nucléaire, on chauffe aussi de l’eau pour obtenir de la vapeur d’eau sous pression. Cette vapeur va permettre de faire tourner une turbine qui va entraîner un alternateur. L’alternateur va produire l’électricité. La source d'énergie primaire utilisée dans une centrale nucléaire est de l'uranium l’uranium n’est pas une énergie fossile. c. La centrale hydraulique Centrale hydraulique Une centrale hydraulique barrage utilise la force de l'’eau. L'eau est envoyée sur une turbine. La turbine entraîne l'alternateur qui va produire l'électricité. La source d'énergie primaire utilisée dans une centrale hydraulique est l'eau on parle alors d'énergie renouvelable. d. La centrale éolienne Un champ d'éoliennes Une éolienne utilise la force de l'air. L'air fait tourner les pales de l'éolienne qui entraîne un alternateur, qui produit l'électricité. La source d'énergie primaire utilisée dans une centrale éolienne est l'air on parle alors d'énergie renouvelable. 2. Principe général de fonctionnement Une centrale électrique est constituée d’une turbine et d’un alternateur. Une énergie primaire mécanique ou thermique est convertie en énergie mécanique par la turbine. Une partie de cette énergie est perdue à cause des frottements. L'énergie mécanique de la turbine est convertie en énergie électrique par l'alternateur. Une partie de cette énergie est perdue à cause de l'échauffement de l'alternateur. Une centrale électrique est donc un convertisseur d'énergie. 3. Les différentes sources d'énergie Pour produire l'électricité, on utilise deux types de sources d'énergie les énergies renouvelables et les énergies non renouvelables Une énergie est dite renouvelable si son utilisation n'entraîne pas la diminution de sa réserve. L'eau, le vent sont des énergies renouvelables au même titre que le soleil, le bois ou la géothermie chaleur du sol. Une énergie est dite non renouvelable si son utilisation entraîne la diminution de sa réserve. Le pétrole, le charbon, le gaz naturel et l'uranium sont des énergies non renouvelables. L'essentiel Une centrale électrique thermique, nucléaire, hydraulique, éolienne est constituée d’une turbine et d’un alternateur. La turbine capte une énergie primaire pour la convertir en énergie mécanique. L’alternateur va convertir cette énergie mécanique en énergie électrique. Lors de ces conversions, une partie de l’énergie est perdue par frottement ou par échauffement. Une énergie est dite renouvelable si son utilisation n’entraîne pas la diminution de sa réserve eau, vent, soleil, bois, géothermie. Une énergie est dite non renouvelable si son utilisation entraîne la diminution de sa réserve charbon, pétrole, gaz naturel, uranium. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours !

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